Tout va mal

L’épisode commence donc dans un gymnase où un match de basket a lieu. Kevin met quelques paniers et Will est fier de son fiston mais pas au point de supporter le type hurlant dans ses oreilles. D’ailleurs, il est tellement exaspéré qu’il va s’en griller une.
Adam a réussi l’impossible, il a eu des tickets pour un concert des White Stripes, la question du moment est de savoir s’ils sont frère et sœur ou copain/copine. Et voilà l’arrivée de l’arch-nemesis de Joan pendant les quelques épisodes suivants, Iris. Celle dont la voix est insupportable (bon, évidemment l’actrice ne peut rien y faire mais je suis sûre qu’ils l’ont choisi pour ça) et que Joan détestera de tout son cœur et qu’elle déteste déjà.


Pas de bol, Iris s’occupe de la garde d’enfants au lycée pendant que leurs parents suivent des thérapies. Et évidemment, Joan se porte volontaire comme le lui a demandé Dieu/ vendeuse de sodas. Pas de bol non plus quand Iris lui montre l’emploi du temps et que l’une de ses gardes tombent le soir du concert. S’ensuit une engueulade avec dieu/gamine à lunettes se terminant par « you’re a jerk »* choquant tous les enfants présents.


Luke de son côté rentre dans l’adolescence, enfin c’est ce que croit ses parents. Il se lève tard, il ne répond pas en classe de chimie, il rentre tard. Il est encore plus bizarre que d’habitude. Kevin, lui, est tout joyeux. Il s’amuse au basket et a enfin un rendez-vous avec sa charmante chef qui se passe pour le mieux ; on ne peut avoir qu’un sourire heureux et presque béat en les voyant.


En revanche du côté de Joan, tout va mal. Elle se comporte comme la copine jalouse avec Adam qui l’a remplacé par Iris pour le concert. Qui ne serait pas vexée d’être remplacée par cette pimbêche ? Elle n’est pas aimée des enfants qu’elle surveille et quand ils leur disent qu’Iris ne veut pas les laisser taper sur une pinata remplie en général de bonbons. Ca ne lui est pas venu à l’esprit que tous les enfants présents étaient là parce que leur parent était abusif ce que lui fait remarquer une Iris hystérique ayant une enfance similaire avec un papa la frappant.


On peut dire que c’est l’épisode où Joan rate tout. Non pas qu’elle réussisse d’habitude mais là on peut dire que c’est la catastrophe. Et le sort s’acharne sur elle lorsqu’elle s’empêtre les jambes dans les laisses de dieu/promeneur de chien (joué par Ross Tamblyn, le père d’Amber).


Luke et Kevin se disputent et Luke lui explique pourquoi il est de mauvais poil. Rien à voir avec les testostérones en ébullition mais tout simplement un réajustement de sa place de geek comme quand Kevin était valide et il a dû mal à le vivre.


Du côté des parents. C’est le premier jour de classe d’Hélène et elle est aussi nerveuse qu’une vierge allant perdre sa virginité ; ça permet une scène assez drôle dans les couloirs où elle courre parce qu’elle est en retard. Pour will, c’est une autre histoire ; sur le terrain il dégaine son arme sur une enfant et se partenaire a toutes les peines du monde àçle faire rengainer. Du coup, on lui demande d’aller voir un psy pour parler de tous ses problèmes découlant de son enlèvement ; tout digne qu’il est il préfère rendre son badge et être suspendu plutôt que d’aller voir un médecin pour la tête ; évidemment il finira par accepter.


Revenons à Joan et Adam. Ils finissent par se rabibocher et se présentent des excuses mutuelles mais l’on sent bien que Joan n’y arrivera pas très longtemps à faire l’amie tout court. Affaire à suivre !