Le fugitif

Donc Gary court. Il ne sait faire que ça quand il ne fourre pas son nez dans les affaires des autres. Et pour une fois, il a une nouvelle motivation : il ne court pas pour arriver à temps mais pour échapper à la police. Remarquez, il n’a pas besoin de sprinter longtemps, l’âge et le poids de Crumb le stoppe vite et c’est le seul flic de la ville mandaté pour courir après Gary apparemment vu que tous les autres font le tour de la ville dans leurs voitures en roulant au pas.
Bref Gary court et finit là où il faut pas bien sûr. Gros cliché : quand un personnage sait qu’il ne doit pas aller à tel endroit, il y va. Et en plus, l’idiot attrape le fusil de sniper avec ses mimines pleines d’empruntes à lui. Le méchant tueur a donc un coupable livré sur un plateau d’argent, coupable qu’il menotte.

De leur coté, Marissa l’aveugle se trimballe avec une photo et elle y va avec les "on va regarder ça", "regardez ce que j’ai vu sur la photo" ... Car oui, elle passe son temps soit avec Gary quand il ne court pas, soit chez le ministre. Un cousin de Morris, recelleur. Mais ça tombe bien, il a le super matos "tombé du camion" pour éclaircir et agrandir la photo de livre sur la commission Warren (qui a enquêté sur le meurtre de JFK). Et là, Chuck revenu de ses séjours chez les flics reconnait le coupable. Hop, il embarque tout le monde au commissariat pour prévenir Crumb et tous vont arrêter à temps le tireur fou et délivre Gary. Voilà. Le président est en vie et le méchant est coincé. Happy end. Non, parce que comme le dit Chuck : le journal a changé Gary à tout jamais. Ouais, ben faut pas rêver non plus. C’est joli à écrire pour le scénariste mais il faut prévenir les suivants que Gary est censé avoir changé.

Je pourrais m’arrêter là mais Oz va me taper et j’ai oublié l’essentiel.

Remember. Souvenez vous. Previously on my last review. Précédemment dans ma dernière critique. Last time on LTE. La dernière fois sur la LTE. J’avais théorisé. Et qui avait raison ?
I’m the best. Je suis le meilleur. I’m the king of bling bling ! (oups, wrong show). Bre, j’avais raison. Oui, vous pouvez le dire : "comme d’habitude". Alala comme c’est bon de n’avoir aucune pression car personne ou presque va lire cette critique. Je peux me lâcher à mort, c’est trop bon !

Bref, redevenons sérieux avant que toi, mon fidèle lecteur, le seul ou presque sur cette série, ne me quitte. Pour moi, Dobbs = JT Marley et il a tué JFK.
Bon, je redescends sur Terre parce que je n’avais pas tout à fait juste. L’agent Dobbs qui nous est présenté est bien JT Marley. Par contre, il n’est pas Dobbs puisque Dobbs est allongé par terre sous une table bâché. ... Je me suis perdu. Dobbs n’est pas le vrai Dobbs mais bel et bien le vrai JT Marley (aucun rapport avec Bob) .
Et en fait, il n’a pas tué JFK. (ni Lucius Snow d’ailleurs). Enfin si peut-être. En fait, j’ai pas saisi si il avait lui-même appuyé sur la gachette et tué JFK ou si il avat forcé Lee Harvey Oswald à tirer. Enfin, Lee était le pigeon qui a tout pris comme Gary va l’être.
J’eusse donc eu bien raison partiellement (ce n’est pas français mais je m’en fous, ça sonne bien).

Je ne vois pas quoi d’autre dire si ce n’est que la mini conclusion sur Gary bouleversificationné (bouleversé quoi) tombe mal car incompréhensible. Le reste, c’est dans le bilan.