Somebody have a brain for this policeman ?

Ma critique dans mes rêves :


Bon, comme j’ai pas du tout le temps en ce moment je vous épargne une review un peu longue et vais faire bref :

 Davis : Why don’t you die ?

 Kim : Ah ah !

 Yokas : You’re so nice !

Bilan : Ouais sympa
Note : 6/10


Ma vraie critique :


Bip, bip, bip !!! Putain de réveil !!!!!
Quoi c’était un rêve ? NON ! Après tout, pouvoir faire une review pareille c’était trop beau. Et au lieu de ça je vais devoir parler de ce foutu épisode Davis-centrique (comme d’habitude) et où ma bête noire prouve une fois de plus toute sa bêtise et son inutilité, mais que quelqu’un l’achève bon sang !


You’re mission, take out a kid who’s trapped between two buildings, can you succeed ?
Un enfant s’est coincé dans un petit espace entre deux immeubles pour avoir voulu libérer son chien qui s’y était bloqué. Après avoir essayé sans succès de le tirer au moyen d’une longue perche il est décidé de détruire l’un des murs. Le temps presse car le garçon est au bord de l’hypothermie. Mais le vieux propriétaire du local, qui jouxte le petit, refuse que la police investisse l’endroit et démolisse son mur. La Bête l’envoie balader et l’enfant, très mal en point, est délivré et emmené à l’hôpital. La police découvre des sacs de marijuana dans le débarras et arrête le petit vieux qui clame que la police est entré par effraction et sans mandat.


Une intrigue fort sympathique et originale qui mélange action et suspens comme la série sait si bien le faire. La conclusion est désopilante et un brin inquiétante (je vous jure, si on peut même plus avoir confiance aux petits vieux). Seul bémol, on peut reprocher une certaine répétition dans la structure des histoires à force cela devient un petit lassant.


My crazy girlfriend
Carlos croyait être au paradis en sortant avec une jolie jeune femme qu’il avait secourue et qui le prenait pour son ange gardien. Mais en fait c’est l’enfer qui l’attend puisque cette fille est totalement barrée et le file partout où il va avec sa CB constamment branchée sur les ondes des urgences. Carlos ne sait plus quoi faire et Doc lui conseil de mettre vite fin à leur relation au risque de s’attirer des ennuis.


L’aspect comique de Carlos est une fois de plus mis en avant avec cette histoire de harcèlement. Très content de voir que les scénaristes évoluent dans cette voie plutôt que dans le rôle de la tête à claque de service dans lequel il était enfermé au début. Carlos fait rire, donc nous apparaît sympathique, par conséquent cela nous touche beaucoup plus lorsqu’un malheur lui tombe sur la tête contrairement à un autre qui se prend trop au sérieux et dont je ne citerai pas le nom, CQFD.


To protect and serve the fools !
A chaque épisode on l’attend et celui-ci ne déroge pas à la règle, Davis a encore fait/dit une connerie, seulement cette fois s’en est une grosse. Sully et Davis tombent sur un homme en train de se faire passer à tabac. Sully poursuit les fautifs tandis que Davis s’occupe de la victime. Mais en voulant franchir une palissade Sully glisse et tombe lourdement au sol en tirant malencontreusement un coup de feu. Alerté, Davis rejoint son coéquipier. Un homme qui a vu Sully tomber lui donne l’arme que le policier réclame, mais Davis arrive à ce moment et croit qu’il veut tirer sur son partenaire et ce qu’il devait arriver arriva. Le sans-cerveau tire et blesse gravement le pauvre type qui se retrouve paralysé.
Et le schéma classique de ce genre d’histoire tire-larme se répète
· Davis s’en veut
· Il va voir le type paralysé à l’hôpital et tombe sur ses enfants
· Davis s’en veut, bis
· Sully essaye de le réconforter
· Davis s’en veut encore
· Une enquête sur l’incident est entamée
· Davis s’en veut toujours et nous gonfle
· Il va voir la femme de la victime et se fait méchamment insulter
· On vénère la femme de la victime
· Il est réhabilité et récupère son arme
· Shut up Davis !


Avis par une fan de Davis : C’était génial. Davis a fait une grave erreur mais comme on peut pas en vouloir à son joli petit minois tout le monde le pardonne, sauf la femme de l’homme sur qui il a tiré. Mais quelle garce celle-là, en plus elle l’a giflé. Si j’avais été le diffuseur, j’aurai coupé cette scène parce que franchement c’est hyper malsain et pas justifiable. Franchement lui et Jimmy c’est mes préférés, ah la la qu’est-ce qu’ils sont beau !


Avis d’un non-fan de Davis : J’ai beaucoup espéré de cet épisode, après chaque scène montrant Davis nous dégueuler à la figure ses remords insipides je me disais qu’avec un peu de chance il déciderait de quitter la police et de s’installer loin, très loin de toute civilisation où tout ce qu’il pourrait ennuyer se sont les animaux du coin, dont un gros ours affamé qui ne cracherai pas sur un peu de viande humaine. Ben non il est encore là, à mon grand désespoir et celui de l’ours. Avec des arguments pareils vous allez dire que je manque d’objectivité et que ce "pauvre" Davis ne mérite pas un tel traitement. Alors je veux bien reconnaître une qualité au personnage (et ce sera la seule) c’est que malgré tous les problèmes qui lui tombent dessus et ses désillusions sur ce qu’étaient le métier de flic, Davis est tenace et refuse de se laisser abattre. Voilà c’est tout. Mais vous pensez bien que je ne peux décemment pas terminer sur une bonne note alors... Shut up Davis !!!!!!!!!!!!


Kim, It’s not my day
Rappelez-vous, Kim avait refoulé Sweet Bobbie après seulement une nuit d’amour, parce qu’elle "l’aimait comme un ami" alors que lui voulait quelque chose de sérieux. Et voir qu’il s’en remet très vite et qu’il est déjà dans les bras d’une autre femme (mignonne qui plus est), franchement ça fait pas plaisir. Et vous savez ce qui fait encore moins plaisir ? Apprendre le même jour que son ex-mari sort avec une jeune femme charmante et avenante et qu’il compte la présenter à leur fils parce que les choses deviennent sérieuses entre eux.


Pathétiquement drôle. Kim aurait dû resté couché ce jour-là mais elle a au moins l’avantage de nous faire bien rigoler. Allez ça ira mieux demain.


I give you a second chance
Yokas ne sait plus comment mentir à ses enfants sur l’absence de leur père, qu’elle a quitté. De plus cette séparation affecte les relations entre Bosco et Yokas, qui sont de plus en plus tendues. En effet, Bosco ne comprend pas son amie, selon lui elle n’est qu’une lâche, car au premier problème entre elle et son mari, elle préfère ne pas insister et faire dans la facilité en le quittant et sans penser aux conséquences sur ses enfants. Yokas ne le comprend pas et Bosco lui raconte alors le jour où sa mère lui a annoncé sa séparation avec son père. Il ne s’était douté de rien sur les disputes entre ses parents jusqu’à ce jour qui détruisit sa vie. Yokas semble capter le message de son coéquipier puisqu’elle décide de faire marche arrière et annonce à son mari qu’il peut revenir s’il lui promet de suivre une cure et d’aller voir un psy. Elle est décidée à le soutenir dans cette entreprise et de faire tout pour que les choses aillent mieux dans son mariage.


J’étais d’abord déçu par la décision de Yokas, mais après le discours émouvant de Bosco il paraît évident que c’est la meilleure des choses à faire. Yokas prouve qu’elle est prête à faire des compromis pour le bien et l’équilibre de ses enfants et d’elle-même. Et grande surprise, son mari met au placard sa petite fierté et accepte sans broncher les décisions de sa femme.
Sans hésiter les meilleurs moments de l’épisode, Yokas veut mettre de l’ordre dans sa vie et Bosco révèle la période la plus difficile de sa vie. Les deux acteurs sont impeccables et n’en rajoutent pas des tonnes comme certain (suivez mon doigt) et on se surprend à verser une petite larme. Yoyo et La Bête assurent !