Rambaldi, le retour !

Lorsque je me suis retrouvé devant les cassettes vidéos, je me suis rendu compte d’une chose : je l’avais déjà vu. Enfin, en partie. J’étais revenu chez mes parents le Vendredi soir où cet épisode est passé sur M6 et j’ai regardé l’épisode. Miss Pingus en avait marre d’Alias, elle avait bien aimé l’épisode d’avant, mais quitte à passer la soirée à la maison, elle préférait tchatter avec son petit copain sur Internet. (Ha, ces ados, ils ne connaissent pas le sens des priorités !)

Bref, ça va me faciliter la tâche d’un seul coup tout ça.

(Désolé mes photos sont à nouveaux toutes déformées, mais ça datait d’avant que je règle le problème, je suis désolé, ça ne se reproduira plus. )



Résumé de l’épisode :

Introduction de début d’épisode :

CHATEAUDUN, FRANCE :

Sark est mis sous menottes par des militaires français. (Il avait été choppé dans l’épisode précédant.)

USA :

Washington et en particulier le sénateur Reed (le père de Lou Reed ? Non, celui Madame Lorraine Quiche-Vaughn , qui à la CIA, prend son « faux-air soupçonneux » à deux balles, puis cache à son mari qu’elle pirate les fichiers de Judith Barnett .)

Le père Ride à une tête plutôt sympa, vu comme ça, on a pas l’impression qu’il a enfanté une telle monstruosité. Avec Jack et Dixon ils parlent de Sark et de la promotion qu’il vient d’avoir avec un autre agent. Et comme par hasard, nous on sait que l’agent en question, c’est la pétasse qui vient de rentrer dans la salle pour dire bonjour à son Pôpa, et bizarrement, expliquer que torturer Sark pour obtenir des informations,

Et bizarrement l’appareil de Sark s’est posé en plein désert. Sark a abattu tout ses geôliers (balles dans la tête) et s’est enfuit après avoir dépressurisé l’avion (sautant en parachute, scène que l’on ne verra pas... budget oblige.) Bon, les militaires français s’en tiraient bien dans l’épisode dernier, fallait bien qu’ils passent pour des grosses buses à un moment où à un autre... C’est maintenant chose faites.

Pendant ce temps là, Dixon apprend que ses gosses viennent d’être kidnappé, et que le kidnappeur, c’est Sark. (La routine, quoi.)

ALIAS (GENERIQUE)

Intrigue générale :

Contre les enfants de Dixon, Sark veut la libération d’agents du Convenant détenus par différents pays. Le processus s’annonce donc très long. Au sein du conseil de la CIA, se trouvent deux factions :

 Les idéalistes niais : « Il faut tout faire pour satisfaires les terroristes afin de libérer les chtites n’enfants de Dixon ! » qui sont Sidney (la naïve en cheffe) Dixon (qu’on ne peut pas blâmer) Vaughn (qui ferait mieux de la fermer.)

 Les réalistes cruels : « La CIA ne négocient pas avec les terroristes, et puis quoi encore ? » Papa Reed (qui passe donc pour le sans-cœur de service, (Rhôôô, et en plus il a oublié le prénom des chtites n’enfants de Dixon, c’est dire s’il a pas de cœur.)
Jack Bristow propose une solution alternative : faire croire au Convenant qu’on leur obéit pour mieux les avoir après.
La Quiche, elle ne dit rien, elle cherche juste un bouc émissaire que la CIA va blâmer pour les fuites.

Marshall analyse les boîtes noires (grâce à Echelon, qu’elle saloperie ce machin.) Il découvre que Sark à tué ses ennemis par balle, qu’il a téléphoné au dessus du nouveau Mexique à sa copine et qu’il s’est parachuté vers Nogales en Arizona.

Dixon demande à Jack si préparer un assaut rapide est une bonne idée. Celui-ci lui souligne que la dernière fois qu’ils ont fait ça, le Convenant à abattu un otage. Mais d’un autre côté, ils abattent aussi les otages qu’ils sont censés libérer.

MISSION 1 : NOG(A)LES :

 Localisation : Un entrepôt désaffecté.

 Mission : Trouver les enfants de Dixon.

 Gadget utilisé : Un court-circuiteur permettant d’avoir les données du bâtiment et la vision des caméras de sécurité.

 Alliés : Weiss - Vaughn- Dixon - Marshall (conseillé technique)

 Ennemis : Aucun (l’entrepôt est désert.)

 Niveau de difficulté : 2 (Y a juste à patrouiller)

 Problème : Il y a des détonateurs un peu partout et ils vont faire péter le bâtiment dans 1 :30

 Looks : Agent d’assaut en tenue noire.

 Niveau d’intérêt : 2 (Merde, Dixon, sort de ce bâtiment bon sang !!)

 Musique : Suspense

 Résultat : Tout le monde à largement le temps de sortir, mais Dixon veut absolument récupérer ses gosses et ce, malgré le fait que Marshall lui ai expliqué que vu le problème des bandes, il y a peu de chance qu’ils soient encore là. Dixon s’entête et il faut que Sidney lui fasse un bon discours bien mielleux (tes enfants sont en captivité ailleurs et ils ont besoin de toi) pour que tout le monde sorte in-extrêmis avant que le bâtiment n’explose. (Super ils on réactivés le budget « explosion de maquettes ! »)


Intrigue de Sloane :

Sloane et l’agent Barnett (la psy de la CIA, pour ceux qui n’auraient pas suivis) disent avoir passés un bon moment entre eux ensemble. Elle craint que si quelqu’un avait connaissance de la liaison, elle serait virée. (On la croit.)

Et COMME PAR HASARD ! C’est exactement ce qui va arriver. En fouillant sur les dernières personnes ayant accès aux infos sur le vol de Sark, ils retrouvent le compte du Dr Barnett et retombe sur la fondation Omnifam, celle de Sloane. Il est donc arrêté par la CIA et conduit dans une cellule. Là, Dixon le menace et lui pointe un pistolet. (Ouais, c’est quand même le salaud qui a tué sa femme.)
Moi, je jubilais depuis le temps que j’attendais ce moment. J’hurle à ma sœur, restée à l’étage : « Ouais, tu loupe quelque chose là !!

 J’m’en fou ! »
Bon, il n’y a malheureusement pas vraiment de face à face, puisque Sidney arrive et réutilise la bonne vieille méthode de chouineuse sentimentaliste utilisé il y a 5 minutes « Qu’est ce que Diane penserait de toi, et tes enfants, tu y pense, blablabli. » Ca convainc Dixon, qui, se tire. Sloane remercie Sidney qui ne lui répondra pas.

A la fin de l’épisode, Judith Barnett vient voir Sloane et malgré ses excuses et ses supplications, elle lui fait porter le chapeau et explique qu’elle a été naïve de penser qu’il puisse changer à nouveau. Il lui fait toutefois promettre de ne pas révéler le secret de sa liaison avec Irina Derevko.

Intrigue de Dixon :

A bout de nerf après tout ces évènements, Dixon pleure dans sa voiture, au beau milieu d’un parc, quoique ça serait plus logique que ça soit devant sa maison, vu que Steven, son fils arrive à pied quelques minutes plus tard. Papa Dixon est tout content. (Mon fils ! Mon fils !)
Moi, bizarrement, j’espérais secrètement qu’il y ait une bombe attaché à lui et qu’elle explose... le genre de truc ultra-cruel, qui montrerait que le Convenant, ils sont VRAIMENT méchants ! Mais non, tout ce qu’il a c’est un téléphone portable avec le Convenant au bout du fil.
Ce qui est bizarre, c’est que Dixon explique juste après que s’ils ont mis en scène l’explosion du bâtiment c’est parce que « le Covenant voulait absolument que je vois mourir mes enfants ! » (Raison de plus, pourquoi ils ont pas filé Steven sous forme d’un paquet en pièce détaché ?)
Ils veulent la libération de 10 prisonniers du Covenant sinon, Dixon n’a aucune chance de revoir sa fille vivante. Comme il se sent trop impliqué émotionnellement, il décide donc solennellement de céder sa place à Jack Bristow.

Sidney vient voir Dixon à l’hôpital en train de veiller son fils. (Bah, il était en bonne santé il y a 10 mn ? Oui, mais apparemment, il aurait été déshydraté. Pour quelle raison ? Pfftt, faut pas chercher à comprendre, il est à l’hôpital, c’est tout !) Là, Dixon révèle que le Covenant ne lui a pas demandé de libérer des prisonniers, mais au contraire, d’aller chercher un objet de Rambaldi, là où ils sont conservés, dans le Névada ! (Haaaa ! Enfin le retour de Rambaldi ! Ouf, ça faisait 4 épisodes sans lui, on commençait à s’ennuyer. Surtout que ça devient logique puisque l’on sait depuis l’épisode 3.11 qu’ils s’intéressent ÉNORMEMENT à Rambaldi.)

Ils décident de monter un plan ensemble.

MISSION 2 : NEVA(D)A :

 Localisation : Centre de DSR, recherche du projet « Trou Noir ».

 Mission : Pendant que Dixon fait semblant d’inspecter les lieux, permettre à Sidney de rentrer à l’intérieur pour voler l’objet n°45

 Gadget utilisé : Détecteur de chaleur, combinaison thermique, et une espèce de Scooter des sables pour permettre à Sidney de circuler dans le désert. (Totalement inutile, mais ça à l’avantage de me rappeler une course poursuite dans Farscape. (Le 3.15 : Infinite Possibilities II)

 Alliés :Dixon

 Ennemis : Aucun (Mis à part un militaire dans le désert, rapidement neutralisé)

 Niveau de difficulté : 3 (Mis à part un détecteur de chaleur.)

 Problème : La directrice du centre persiste à rester au côté de Dixon et d’être derrière ses basques.

 Looks : Sidney-biker : Lunettes noires, bandana, pantalon moulant. Sidney-cosmonaute : Sidney avec une combinaison thermique

 Niveau d’intérêt : 3 (Ca devient chaud !)

 Musique : Habituelle

 Résultat : Dixon arrive à faire fuir la directrice en lui parlant de prière pour que ses gosses reviennent, ce qui va la mettre dans l’embarras. (Alors qu’il entend dans son oreillette Sidney qui hurle parce que la chaleur du conduit lui crame les fesses.) Une fois sortie, il permet à Sidney de quitter les tuyaux chauffant et de rentrer incognito dans la base.

Et là, Sidney arrive à l’intérieur et je jubile.
« Merde, PINGUS, c’est GENIAL !!

 Tant pis, je verrais ça dans une rediffusion. »
Sidney arrive dans le Centre d’étude sur Rambaldi, qui est une sorte d’immense musée où l’on trouve tous les objets de Rambaldi trouvé par la CIA (ou filés par Sloane) depuis le début de la série. On y trouve ainsi la figure de Sidney, issue de la fameuse page 47, reproduite en géant. Le genre de truc que je CREUVAIS d’envie de voir depuis au moins l’épisode 2.22
C’est dommage que l’action décide de se centrer un peu plus sur autre chose et de rentrer dans le creux de l’action : l’objet n°45 n’est pas là.

PUB :

(Bon, après la pub, on entre enfin dans la partie que je n’ai pas vu, parce que je m’étais dit « non, tu verras ça plus tard. Donc, ça fait presque 5 mois que je ne sais pas ce qu’est l’objet disparu en question ! »)

FIN DE LA PUB :

Dixon retrouve la trace de l’objet, il est porté en analyse à quelques labos au dessus.

MISSION 2 : NEVA(D)A :

 Localisation : Centre de DSR, recherche du projet « Trou Noir ».

 Mission : Retrouver l’objet n°45 pendant son analyse.

 Gadget utilisé :

 Alliés : Dixon (Contact sécurité.)

 Ennemis : Aucun (La directrice du centre l’est un peu.)

 Niveau de difficulté : 4 (Il faut être vachement souple pour passer derrière des lasers qui tournent.)

 Problème : La directrice du centre va revenir, et Sidney doit passer entre des lasers qui défilent.

 Looks : Sidney-Scientifique masquée : Blouse blanche avec un masque de chirurgien sur le

 Niveau d’intérêt : 4 (Rambaldi !)

 Musique : Habituelle

 Résultat : La danse entre Sidney et les bras lasers qui analyse l’objet est assez surréaliste. On se croirait dans un film de Science fiction. L’objet n°45 se révèle être un cube. En le mettant en sécurité, Sidney découvre que le mot « Irina » est gravé en dessous !
Elle repart avec en scooter des sables, pendant que Dixon passe pour un étourdi auprès de la directrice.

Intrigue de Jack Bristow :

A peine Jack est-il nommé à la tête de la CIA que le sénateur Reed vient le voir pour lui expliquer que les affaires étrangères vont tout faire pour satisfaire leur demande. Jack pense qu’il y a quelque chose de plus gros derrière cette histoire.
Jack se posent de nombreuses questions : les demandent des terroristes sont irrecevables. Il demande donc à Sloane dans sa cellule de l’aiguiller, celui-ci se montre malin et explique qu’il s’agit bien entendu de mettre la pression sur Dixon pour qu’il vole l’objet n°45.

Jack découvre le pot-au-rose et part engueuler Sidney et Dixon, un soir dans un parking désert. Selon Sloane cette boite possède une clef sur laquelle le Convenant va bientôt mettre la main dessus. Le contenu de cette boîte devrait être dangereux pour Sidney elle-même. Sidney souligne le fait que le prénom de sa mère se trouve sous la boite. Ils cherchent à faire un faux, mais ne prennent pas le risque, après tout, Sidney est une grande fille qui sait ce qu’elle fait, contrairement à celle de Dixon.

Intrigue de Tout le monde en fin de compte :

Pendant ce temps, le sénateur Reed (qui s’engueule avec le ministère Algérien) entend parler du vol au projet « Trou Noir. » Il met rapidement le doigt sur Dixon et demande à ce qu’il se fasse arrêter. (En plus, on met des gros plans sur sa quiche de fille qui le regarde avec un sourire en coin, histoire qu’on se dise : « Bouh, la méchante, c’est elle qui est à l’origine de la fuite ! »)

Pourtant, c’est elle qui aborde Vaughn et lui demande à ce qu’ils aident Dixon, tous ensemble.

MISSION 3 : LOS ANGELES :

 Localisation : Près d’un pont.

 Mission : Effectué l’échange entre l’objet n°45 et la fille de Dixon.

 Gadget utilisé : Des décodeurs, un injecteur de venin, une pince.

 Alliés : Vaughn - La Quiche - Marshall (Permettent d’envoyer les hélicoptères espions de la NSA ailleurs.) Sidney - Dixon - Jack (Sur place, supervise l’échange

 Ennemis : Sark - La NSA.

 Niveau de difficulté : 2 (Il suffit d’échanger un objet.)

 Problème : Sark met un collier dans le coup de Sidney qui injecte du poison. Le but est pour lui d’occuper Sidney, Dixon et Jack pendant qu’il s’enfuit.

 Niveau de difficulté : 2 (Le mécanisme n’est pas trop dur à détruire.)

 Looks : Costard pour tout le monde

 Niveau d’intérêt : 3 (On sait tous que la fille de Dixon va s’en sortir vivante, ainsi que Sidney. Bon, on pimente un peu avec la NSA)

 Musique : Aucune

 Résultat : L’échange effectué, Sidney est sauvée et tout le monde est heureux.
On peut se demander d’ailleurs pourquoi Sark n’a pas menti et mis un système performant permettant de tuer Sidney plus tard. Mais, bon, quand on trouve des gogos pour vous apporter des objets rares directement dans la main, on évite de les buter.

Fin à tiroir :

=> Sidney va voir Dixon et ses gosses à l’hôpital sous fond de musique mielleuse.

=> Judith Barnett et Arvin Sloane s’engueulent pendant qu’il cherche à s’expliquer dans sa cellule.

=> Jack Bristow explique à Vaughn et sa quiche que toutes les enquêtes sur la disparition de l’objet 45 ont été abandonnées. (Houlala, c’est bien pratique tout ça ! Il y a quelques plans, tout le monde était cuit, maintenant, ils s’en tirent sans problème.) Pendant qu’il repart, il constate que la Quiche utilise la même expression pour dire « Je t’attend mon amour » que Sark. (Ce qui ne veut strictement rien-dire : y a pas 36 façon de dire « Je t’aime » non plus !)

Intrigues sans intérêt :

On assiste à deux coups de fils entre Sark et Quiche. Celle-ci semble être plus émotive et plus humaine que lui. (Normale, c’est une fiiiille !)


Bilan

Le détail qui tue :

Le chiffre répété dans Alias, c’est le n°47, vous le savez bien. Il aurait donc été trop évident que l’objet que recherche Sidney soit le n°47, elle cherche donc le n°45. Par contre elle le retrouve derrière une porte numérotée 74 !!

La scène débile de l’épisode :
Aujourd’hui, c’est Lorraine qui cache mal qu’elle est une taupe à la CIA :
Le Sénateur Ride, Jack Bristow et Marcus Dixon discutent ensemble.

 Le Sénateur Ride : Selon nos informations top secrètes, planqués dans une pellicule de film de Quentin Tarantino, il semblerait que Sark ait été promu, ainsi qu’un autre agent.

 Marcus Dixon : Ha bon ? Et quel pourrait-être cet agent ?

 Jack Bristow : Selon nos informations, c’est une femme blonde, légèrement arrogante, qui joue très mal les méchante, qui a une grosse tête et les dents en avant.

 Le Sénateur Ride : J’vois pas qui ça peut-être

 Jack Bristow : Il paraîtrait même qu’elle aurait infiltrée un de nos services.

 Marcus Dixon : En tout cas, à la CIA, ça n’arrivera JAMAIS !!

 Lorraine : Bonjour bonjour !!

 Le Sénateur Ride : MON DIEU, C’EST QUOI CETTE HORREUR !!!

 Jack Bristow : Calmez-vous, c’est juste votre fille.

 Le Sénateur Ride : pfffiouf. Ca y est, je viens de retrouver la raison pour laquelle je me suis exilé à Washington.

 Lorraine : Parait que vous avez arrêté Sark ! Je pensais à un plan. Et si au lieu de le torturer, de lui foutre des électrodes sur tout son superbe torse imberbe, ou de cramer son adorable visage d’age blond au chalumeau, on adoptait une autre stratégie.
On le démenotte, on lui file des biscuits, un jus d’orange. Là, il se dit qu’on est sympas et super gentil. Après ça, en échange de quelques petits trucs, il nous dit où sont cachés tous les vilains terroristes.

 Jack Bristow : Ha ouais, pourquoi pas. Après tout ça a bien marché avec ma femme et avec Sloane cette stratégie. Et tu pense qu’il voudrait quoi ?

 Lorraine : 15 000 000$, une maison aux Bahamas, tout les objets de Rambaldi, la tête de Sidney Bristow sur un plateau d’argent, le poste de chef ultime de la CIA et le code de la bombe atomique.

 Marcus Dixon : Ouais. Je vais voir ce qu’on peut faire.
Elle sort

 Marcus Dixon : Vous avez bien dit que cette taupe était blonde et légèrement arrogante

 Jack Bristow : Oui, et selon nos informateurs, elle peut porter une robe noire des fois... Ho ! Mais ça ne peut-être QUE :

 Marcus et Jack (ensemble) : JUDITH BARNETT !

Apprenez la Tragédie, grâce aux acteurs d’Alias :

Cette semaine, nous allons apprendre à faire semblant d’écouter une nouvelle tragique. Le mouvement est simple.

Dans un 1er temps, on regarde l’interlocuteur, en prenant l’air franchement médusé par ce qu’il est en train de nous annoncer.

Dans un 2ème temps, on baisse les yeux furtivement, car l’on sent à l’intérieur de soit que ce qui vient d’être annoncé est quand même horrible.

Dans un 3ème temps, on revient à 1 : les yeux fixés sur l’interlocuteur et l’air peiné.

Et c’est parti :

Et 1 : On ouvre les yeux et on lève la tête

Et 2 : On ferme les yeux et on baisse la tête.

Et 1 : On lève la tête, on lève le regard

Et 2 : On baisse la tête, on baisse le regard.

Et 1 : on ouvre les yeux

Et 2 : on baisse la tête et on ferme les yeux.

Attention, ne vous emmêlez pas les pinceaux et ne levez pas la tête pendant que vous avez les yeux fermés, ce qui vous donnera l’air... très con !

Toutefois, si vous êtes un mauvais acteur, comme Michaël Vartan, il vaut mieux pour vous que vous gardiez les yeux fermés, tout simplement.

A noter que Ju, le 22/03/04 estimait que le jeux de Carl Lumbly était impeccable : (C’est possible, vu que c’est lui qui parle à tout ce petit monde là !) http://www.leflt.com/usa/article.php3?id_article=659