Des écolières de l’école catholique en pyjama. Hot or not ?

Comment ça on est déjà samedi, c’est pas possible ! Une semaine de retard, shame on me. Alors pour me faire pardonner une review ultra détaillé avec des critiques super intéressantes et tout et tout... Non mais faut pas déconner quand même, c’est à Imu que vous avez à faire. Bon allez on y va...


American Dreams se met au rose


En visionnant l’épisode j’ai remarqué qu’avec chaque intrigues on pouvait faire un parallèle avec le rose, couleur du pyjama des petites gourdes de l’école catholique.
L’utilité ? Aucune, mais ça me fait plaisir.


Meg, une soirée au goût de trahison


Meg et Roxane passent de plus en plus de temps avec celle que je nomme la garce sournoise, Carole. D’ailleurs cette dernière invite notre jolie blonde à passer la nuit chez elle pour une soirée pyjama avec d’autres filles du lycée. Meg est ravie et propose que Roxane vienne mais Carole refuse car selon elle, NOTRE Roxane est de mauvaise fréquentation et ne plaît pas à ses copines. Meg brave donc le danger et ment à son amie pour passer une soirée "super" et ô combien mortelle avec ses nouvelles copines. Une soirée rose bonbon qui n’a que d’intérêt (mais pour les mâles hétéros seulement) la présence de cruches en petite nuisette rose en train de déguster des fraises à la crème chantilly et de danser sur un peu de pop music. Mais voilà comme on s’en doutait, Roxane finie par découvrir la vérité et Meg réussie à s’en sortir par une petite pirouette bien maladroite que même Jimmy (qui je vous le rappelle a le QI d’une huître) ne goberait pas.
Les deux amis se rendent au bal des terminales où elles et les autres evil bitch doivent s’occuper de différentes choses, et c’est là où le grand clash tant redouté a lieu. Roxane surprend une conversation dans les toilettes qui lui révèle la vérité vraie, Meg lui a menti effrontément et elle est décidée à s’expliquer avec elle (avec une scène géniale dans les toilettes où l’on voit le pied de notre belle écraser sa cigarette, l’air décidé). Dans une horrible et humiliante dispute (qui fait étrangement beaucoup de bien aux yeux et aux oreilles) Roxane met les choses au clair avec Meg avant de quitter le lieu de la fête. Sans aucun parti pris, à ce moment là je serai plutôt du côté de Roxane, dont la colère est tout à fait légitime. Mais voilà Meg retourne voir son amie dans la soirée et elle se montre tout de même très sévère envers la jeune Pryor. Après tout l’envie de Meg de se faire d’autres copines est assez compréhensible et son mensonge, s’il est condamnable est quand même pardonnable. Alors pour le coup je me tourne vers la facilité et tranche la poire en deux, pas de réelle coupable dans cette histoire.
Mais alors qu’a t’elle d’intéressante cette intrigue ? Et bien j’utiliserai plutôt le futur, car cette première grosse dispute a révélé les premières fêlures d’une amitié jusqu’alors sans faille et le choix de Roxane de ne pas partir en vacance avec Meg pour la première fois depuis 10 ans, montre sa détermination à ne pas pardonner à son amie. Espérons seulement qu’elle ne fera pas marche arrière dés le prochain épisode et ainsi anéantir le seule intérêt de cette histoire (si l’on omet la pyjama party avec les filles en nuisette).


L’effet autruche


Tout n’est pas rose entre Jack et Helen. Le chef de famille rencontre "celui par qui l’ennuie est arrivé" sur le stand de vote et commence à avoir quelques soupçons après un léger quiproquo au cours de leur discussion. En effet, Jack met sur le tapis l’incident qui a eu lieu sur ce même stand avec les amis de Nathan mais le professeur croit qu’il parle du fameux baiser échangé avec Helen. Aussitôt, Jack commence à se montrer très agressif et distant (un peu trop d’ailleurs) envers sa femme et va même jusqu’à annoncer au reste de sa famille qu’il ne partira pas en vacance avec eux en accusant le temps que le nouveau magasin lui prend. Après une petite discussion avec son jeune frère Peter, Jack décide de faire des concessions et décide finalement de partir en vacance. Pensant que c’est le moment de parler, Helen va essayer de discuter avec son mari l’autruche mais Jack est tout à fait opposé à mettre cette histoire sur le tapis. Au final on se retrouve avec une autruche (Helen) et une autruche cinglante (Jack), dont la première est tellement rongée par le remord (totalement injustifié) qu’elle n’ose pas révéler la vérité tandis que la seconde refuse de voir la réalité en face de peur de voir sa virilité froissée et son bonheur conjugal bouleversé à jamais.


Henry le vendu, Nathan le prêcheur


Les choses continuent de s’envenimer entre ce brave Henry et ce casse-couilles de Nathan (qui je vous le rappelle n’ont pas une couleur de peau rose mais noire). Un message anti-blanc a été inscrit sur la vitrine du nouveau magasin Pryor, ce qui met évidemment Henry dans une position difficile face à son patron, à qui il cache la vérité. Sam se retrouve une fois de plus pris au milieu du litige entre son père et son cousin, qui continue de faire l’apologie du discours anti-blanc et qui -Etats-Unis oblige- associe l’association de son oncle avec Jack à un personnage biblique et à l’arrivée prochaine de l’apocalypse. Mais dans tout ce flot de bêtise Nathan met le doigt sur une réalité, si Henry a menti à Jack ce n’est pas pour protéger son neveu mais ses propres intérêts. Et cela a un impact sur Sam qui déclare à son père ne jamais l’avoir vu mentir. Finalement Henry dit la vérité à Jack et tout rentre dans l’ordre, si ce n’est que les relations entre Nathan et Henry sont plus exacerbées que jamais.


Ouin-Ouin porte le chapeau de cow-boy


Non je n’ai pas envie de parler de la nouvelle intrigue boulet de ce boulet de Jerry et de sa boulette de Beth. Pourquoi ? Parce que j’en ai marre de voir que les scénaristes préfèrent la petite princesse aux joues roses à la sulfureuse et cent fois plus intéressante Coleen. Pour nous donner une intrigue et une scène finale d’un ridicule achevé qui plombe une fois de plus une bonne partie de l’épisode. Alors peut-être que Beth représente la fiancée idéale mais c’est également le somnifère idéal. Et tout le monde sait que somnoler à 16h c’est pas bon pour la santé !


Patty, Kief cool en puissance


Et la palme de l’intrigue la plus drôle et la plus rafraîchissante revient une fois de plus à cette chipie de Patty (ou Pinky, comme j’aime à l’appeler) qui a toujours autant de mal à se débarrasser de son rôle de miss-je-sais-tout mais qui essaye de faire des concessions pour éviter de se retrouver seule pour les vacances et pour le reste de sa vie. Tout ça donne un mélange de scène drolatique et touchante parfaitement dosé et 100% plaisant.
That’s what I call entertainment !