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3.09 - Conscious

Eternal Sunshine for a Sidney’s Mind

Salle 47

vendredi 12 novembre 2004, par Mad_Dog

Attention, l’abus de Cronenberg est dangereuse pour la santé (mentale) des jolies filles.

Super, ce sont les 3 meilleurs épisodes de la saison ! Et j’ai super envie de prendre mon temps pour en parler. Vu le retard, j’envisage même de laisser de côtés les 2 épisodes d’après, quitte à les chroniquer plus tard et à faire de rapides recap des épisodes des semaines futures. (Comme ce sont des épisodes pourris, pas grave.)

Bon, en tout cas, bonne nouvelle, j’ai embauché (ou débauché plutôt) Miss Pingus en guest star involontaire pour ces 3 épisodes spéciaux.

Vendredi 12 Novembre 2004, 21 heures.

Bubu feuillette son programme télé :
"Bon, y a quoi sur Arte cette semaine ? "Le temps des cerises" moouais. TV Grande chaîne dit que c’est nul. Sur les autres chaînes : France2, PJ, non, c’est de la merde. France 3, non, pas Thalassa (la mère de Bubu à été picorée à mort par des mouettes, et à chaque émission de Thalassa, il revit ce moment traumatique. Prostré dans son canapé, au comble de la tristesse, il se met à pleurer ses deux larmes, comme un crocodile.) Reste plus qu’Alias*. Voyons voir si y a une grosse scène de baston cette semaine."

Au même moment ailleurs en France.

Mad rentre chez ses parents. Il envoi un gros sac de linge sale (style US Navy) à sa mère pour qu’elle le lave.
Puis répondant à un instinct humain ancestral, il s’affale dans le canapé. Sur le téléviseur, des vrais-flics de NY 911 sont en train de tirer sur des faux-flics de NY 911. Effrayé par l’idée de regarder une deuxième fois un épisode qu’il a déjà vu*, il se tourne vers Pingus (dont il remarque enfin la présence) en lui disant :
Ca va pas la tête, coupe cet enregistrement, il y a Alias qui commence !!

Normalement, on est arrivé avec 10 bonnes minutes de retard, mais comme je suis un tricheur, je fais comme si on les avait déjà vus.


Résumé de l’épisode :

Introduction de début d’épisode :


Toujours traqué par le NSC, Sidney se réveille dans un hangar ou sa famille (papa) et ses "amis" projettent des plans pour l’aider. Sidney et son père se rendent donc à l’endroit laissé par le code trouvé à Rome. (Sidney envoi le NSC à Sinney Valley !) C’est une bande de terre dans le désert, ils y trouvent une main dans une boite.

Pendant ce temps là, Dixon se fait arrêter par le NSC.


ALIAS (GENERIQUE)

Intrigue de Sidney :

On ne sait rien de la main, sauf qu’elle porte le du signe de Rambaldi. Un plan est préparé : Pendant que Sidney va chez un scientifique pour voir si elle peut retrouver la mémoire, Loraine va faire croire qu’elle s’est fait enlevée par le Convenant (et pour cela elle doit se faire frapper) et que ceux ci veulent faire un échange entre Sidney et la machine de Rambaldi. (Que Sloane avait laissé en gage de sa bonne foi au NSC) Sloane, lui, appuiera la mise en scène en effectuant cet échange.

Dans l’avion, Jack Bristow remercie Vaughn pour son aide... et... il se met à sourire. (Si, je vous jure !!)
Tout ce petit monde arrive dans l’entrepôt laboratoire du Dr Brezel Et, surprise, c’est une superbe jeune fille rousse, pied nue (superbe pied d’ailleurs, et les genoux qui vont avec... grrr) et simplement vêtue d’une chemise bleue qui fait ressortir admirablement ses yeux d’un bleu si profond qu’on y plongerait, qui ouvre la porte, sa mignonne bouche entrouverte et encadrée par des lèvres rouges et bien dessinées qui font ressortir la luminosité de son visage pale. Et encore je ne parle pas de son mignon petit nez, du contour parfait de l’ovalité de son visage et de ses dents bien alignées (c’est un détail mais ça compte.) Sans parler de ses lobes d’oreille à tomber par terre que l’on ne voit pas car il son caché par son abondante et moelleuse chevelure rousse.
A sa vue, j’étais près à me rouler par terre, à lécher le sol en hurlant tel le loup de Tex Avery, mais je me suis abstenu, parce que je suis sur le canapé familial en présence de ma soeur.
(Mais j’ai revu cette séquence chez moi, et je peux vous dire que depuis ce moment, le sol est nickel !)

Bon, évidemment, à sa vue, Jack Bristow est un peu étonné, mais comme il a déjà effectué "sa scène d’expression de sentiment" de la semaine, il ne peut rester que de marbre. (Bien, fait ça lui apprendra à pactiser avec Front-qui-plisse.) La jeune fille les fait rentrer, non sans plisser de ses superbes yeux au passage, émue par un orgasme lexical. (Je veux la même chez moi !!**)

Elle alerte le professeur, tout en disant de sa PAS magnifique voix (elle est doublée en VF, mais je parie que dans la VO sa voix est capable de prodiguer un orgasme à une bouilloire de salon !!) que de "magnifiques personnes sont là" (elle compte Vaughn dedans ?)

Et là, David Cronenberg arrive !

- Pingus : "Hé ! Il a la voix de Rupert Giles en VF, ça fait bizarre."

- Mad : "Ha, ouais, surtout sur Cronenberg."

- Pingus : "A bon, c’est qui ?!"

- Mad : "C’est lui... C’est le gars qui a réalisé eXistenZ (dis-je en regardant désespéramment la pile de cassettes vidéos du salon... et merde, il n’est pas là ce film)

- Pingus : Pas vu.

- Mad : C’est aussi dans "Last Night", tu sais, le mec qui... qui était au téléphone.

- Pingus : Je l’ai pas vu tant de fois ce film pour que ça me revienne.

- Mad : Heu... Bon, c’est un type important en tout cas."
***

Bref, Cronenberg joue le rôle du Dr Brezel. Il leur explique qu’il les attendait pas si tôt et Kalia (la bombe rousse, une de ses étudiantes...) tiens à serrer tout le monde dans ses bras. (Mon dieu, où est l’adresse de ce laboratoire !!!!!) Comme c’est pas le moment, elle se rabat juste sur Cronenberg (mon dieu, ce type a toujours LE second rôle rêvé !!)****
Puis, ils invitent tout le monde à manger.

Autant dire que les agents de la CIA on une peur bleue devant eux. (Oui, parce que les calinades, c’est pas tout à fait la série pour !) Surtout que Cronenberg leur propose une viande de soja qui ressemble à du bacon. (Beurk !!)

(Bon, j’y vais vite, ça fait plus d’une heure que j’ai commencé cette review et j’en suis qu’au premier quart !)

Il leur explique que les rêves contiennent la mémoire. Par les rêves, il est capable de rentrer consciemment dans le subconscient. Il s’est fait des expériences sur lui-même à base de drogues (Timothy Leary-like, va) pour pénétrer son subconscient. (Et peut-être celui de son étudiante, ça expliquerait pourquoi elle a disjonctée et est devenue aussi adorable qu’un Bisounours Ailé.)*****

On installe Sidney sur une table de dissection. Selon Brezel, les drogues qu’il va injecter vont lui permettre de rester consciente pendant ses rêves et de se contrôler.

Une certaine tension s’installe, Sidney s’endort... elle va bientôt rêver, c’est partie et... PUB !

- Collégiale : "Hé MERDE !"


Dans son premier rêve, Sidney rêve qu’elle a été retrouvée consciente dans son appartement et qu’elle se trouve dans une ambulance avec Vaughn, comme si elle n’avait jamais perdue ces 2 ans. Le Convenant n’est alors qu’une menace émergence et Will est là. Elle en profite pour l’embrasser (vu qu’il n’y a plus de mariage.)
Manque de pot, lorsqu’elle rouvre les yeux, elle embrasse Sloane. Ha ! Ha ! Ha ! Bien fait pour elle. Sloane parle avec la voix du Dr Brezel et lui expliqu’elle doit revenir à l’instant de son dernier souvenir. (On revoit donc une autre fois la scène où elle abat Fran.) Elle voit des hommes sans visage qui l’enlèvent. (L’environnement est rouge.)
Les hommes l’enlèvent et la mettent dans un camion.

Sidney rêve d’elle même enfant. Elle est dans un pré, à une fête d’anniversaire. Selon le Dr X, Sidney extrapole et régresse, Kalia explique que ça lui est déjà arrivé. (Et Jack la regarde comme si c’était définitif...)
A la table, son père lui demande de couper un gâteau (qui passe de la mention "Happy Birthday Sidney" à "St Aidan") et le gâteau ruisselle du Sang.
(A noter qu’à côté du gâteau, on voit la "boite à musique de Rambaldi !")
A la place du gâteau se trouve une main et à la place de la main, Lazarey.
MOI : "Jack Bristow avec des cheveux noirs.

- Ca fait bizarre.


Sidney voit la camionnette, elle rentre à l’intérieur, se retrouve dans des couloirs, où des gens l’emmènent dans une Salle numéroté 47 !
MOI : "Whaaa, une salle numéroté 47 ! Génial !

- Pourquoi ça ?

- Bah, c’est un chiffre que l’on retrouve toujours dans la série. Le n° du boeing où se trouve le centre informatique de l’alliance, la page la plus importante du manuscrit de Rambaldi, le nombre de photo que peut prendre la première invention de Marshall.

- Ha bon ?"


Elle tourne le dos et continue de les poursuivre, on entend un morceau de classique. Au détour d’un couloir, elle croise Lorraine.
Ca y est, elle est vraiment dans un cauchemar.

Elle poursuit Lorraine derrière des toiles en plastiques. (Selon le Dr X elle rêve dans ses propres souvenirs.) Lorraine et elle se battent. Finalement Lorraine l’étouffe avec un sac en plastique. Comme elle s’enfonce dans le coma, ils lui enfonce une big aiguille dans le coeur et la défibrile.
PINGUS : "Haaaa, c’est quoi cette aiguille ?

- C’est pour la réanimer. Ils enfoncent ça d’un seul coup. T’a pas vu Pulp Fiction ?

- Non, c’est toi qui devais me filer la cassette vidéo.

- Au temps pour moi."


Sidney se réveille dans un lit. Vaughn est à ses côtés. Elle l’embrasse. Le truc, c’est qu’elle n’est pas dans un rêve.
(Là, Cronenberg s’amuse avec qu’il avait fait (et qui devenait gonflant) avec eXistenZ.)

Les dernières estimations de Marshall tombent : la main appartient à quelqu’un encore en vie il y a 4 mois, ce qui ne concorde pas avec la version de Lazarey. A moins qu’il ai eu un montage vidéo.
Moi : "Mon dieu, pour une caméra censée être planquée chez un diplomate, c’est loupé. Il s’est fait tué dans un studio de tournage ou quoi ?"

Selon le Dr Brezel, si Lorraine cherche à tuer Sidney dans son rêve, c’est qu’elle est simplement la représentation d’une personne qui lui veut du mal et qui peut changer de forme (comme dans Buffy) : Sa mère, Lorraine Ride, des hommes masqué, (Un perroquet, dixit Kalia.) Sidney veut retenter l’expérience afin de re-rentrer dans la salle 47 !

Dans son deuxième rêve, Sidney est dans une voiture conduite par Dixon. Alors qu’ils croisent une cathédrale (on entend les "cloches du souvenir" du 3.07) Sidney s’aperçoit qu’il conduit une "St Aidan." (Une voiture dure à trouver, selon lui.) Ils garent la voiture près d’une table noire et ronde, où Weiss et Marshall jouent.
MOI :"Ho, l’horloge posée sur la table, c’est une machine de Rambaldi !

Ils l’invitent à rentrer dans la cuisine. Elle se retrouve dans la fameuse salle aux sacs en plastiques. Elle se retrouve face à Lorraine, l’étouffe.
"Ouais va s’y !!"
La Quiche découvre le plastique et prend sa vraie forme, celle de Sidney (qui parle avec la voix de Fran.)

Transcript du dialogue entre les deux Sidney :
"Tu n’aurais pas du revenir, crois moi Sidney tu ne devrais pas être ici, ce qui m’importe, c’est que tu quitte ces lieux !"

- Idiote, pourquoi tu es revenue, on savait que le Convenant nous détenait, on s’en doutait, on avait raison.

- C’était le Convenant ?

- Tu crois que c’est un accident si on a plus aucun souvenir ? Fie-toi à Lazarey."

Les deux Sidney se battent. (A noter que l’agressive est en noire et la visiteuse en blanche.) Sidney-blanche l’abat exactement de la même manière que Fran. Elle franchie la porte 47 et voit une chose...

ALIAS

Ha les salauds !!!


Intrigue de Sloane :

La Quiche revient et lui parle donc de l’échange Sidney / Machine de Rambaldi. Ce qui est drôle, c’est qu’en appelant pour demander les conditions d’échange, on reconnaît la voix (dans la VF) à peine déguisée de Jack Bristow.

Sloane rencontre Lindsay dans un parking. Lindsay veut que Sloane embauche un sniper pour tuer Sidney Bristow lors de l’échange. Il ne veut pas laisser le Convenant faire tout le boulot. Lindsay voit clair dans son jeu, (la récupération de la machine de Rambaldi) et il en a une preuve (que l’on ne voit pas d’ailleurs.)

Intrigue de la CIA :

Dixon se fait donc enfermer en prison et se fait narguer (en prime) par cette sale tête de Lindsay.

Officieusement, Marshall analyse la main trouvée dans le désert. Suite aux suppositions du premier rêve, ils ont la confirmation que celle-ci appartient à Lazarey et qu’il était vivant il y a moins de 4 mois. La scène de sa mort par Sidney, il y a un an, est donc une mise en scène, ce qui veut dire qu’elle est blanchie.


Bilan

Au deuxième visionnage :

Finalement, après avoir vu cet épisode une deuxième fois, il augmente dans mon estime. D’une part, parce que finalement, esthétiquement, il est bien foutu et il y a pas mal de choses à voir, que ça soit dans les plans (tournant, totalement en rouge, avec des superpositions de plans) ou dans la façon de rappeler les rêves (des personnages qui se transforment en d’autres, des couloirs interminables, une voiture qui roule nulle part, le rêveur revit son enfance sous sa forme adulte...) La référence à "Eternal Sunshine..." dans mon titre est voulue, cette idée est venue d’abord à ma soeur, tant l’épisode y est (involontairement, le film ayant quelques mois et cet épisode presqu’un ans) esthétiquement proche. Et même plus proche que les épisodes (ou les séquences) sur les rêves qui parsèment les séries. (Entre autre, on en a des pas mal dans Buffy, Farscape, Carnivàle.) En effet, l’on retrouve un certain parti pris qui est de coincer une trame globalement logique dans une esthétique de rêve qui s’enchaîne logiquement. Dans "Eternal Sunshine" c’est un recul dans le temps, ici, c’est la logique des phases paradoxales, la poursuite d’une idée à travers son esprit. De plus, on retrouve un personnage parlant d’une autre voix que la sienne et un personnage passant d’adulte à enfant selon son point de vue.

D’autre part, parce qu’il est totalement logique avec les révélations du 3.11.

Spoiler 3.11

En effet, ce n’est pas pour rien que j’ai retranscrit le dialogue entre les deux Sidney qui se battent : c’est bel et bien Sidney qui a voulut s’effacer la mémoire et elle le dit clairement. (Là, où si l’on était pas très attentif, les menaces de la Sidney noire ne semblait que paranoïa d’un blocage intérieur.) Si tout tourne autour de cette Salle 47, c’est bel et bien parce qu’elle s’est fait effacer la mémoire à l’intérieur. (Et ce n’est pas vraiment l’apparition de Will à l’intérieur qui est si importante.) Pareil, si Jack Bristow se transforme soudainement en Lazarey, ça n’est absolument pas fortuit. (Dans les flash-backs du 3.11, on voyait clairement qu’il était une sorte de "mentor" pour elle.) Pareil pour la voiture "St Aidan" qui est selon Dixon "très dure à trouver". (Lazarey-St Aidan étant effectivement un type difficile à trouver vu qu’il se planque souvent.)


La scène débile de l’épisode :

Aujourd’hui, ça aurait du être la première scène de réveil de Sidney. Vu savez, celle où elle se réveille pénarde et où elle découvre que ses Amis, (c’est à dire... son père, son ex-employeur véreux, son ex et sa femme) sont en train d’essayer de la sauver.


- Lorraine : Je te prie de m’excuser de t’avoir fait mettre en prison.


- Sidney : Excuses acceptées.


- Lorraine : Et puis, excuse-moi d’avoir été en désaccord avec toi.


- Sidney : Oui, ça va...


- Lorraine : Et puis excuse-moi d’avoir épousé ton ex..


- Jack Bristow : Oui, et tant qu’on est dans les excuses, si tu pouvais m’excuser pour t’avoir fait passé un stage pour devenir une tueuse lorsque tu avait 8 ans.


- Sloane : Excuse-moi aussi pour t’avoir torturé il y a quelques années parce que tu étais arrivé avec 5 minutes de retard.


- Vaughn : Et puis, pour l’odeur pourries des sièges de ma bagnoles.


- Jack Bristow : À propos, les coordonnées que tu as données au NSC, elles mènent où ?


- Sidney : Pttt... Si j’en sais rien, je les ai


Pendant ce temps là, dans un petit bar de l’Ardèche :

"NSC’s Agents : Everybody Freeeeeze !!


- Poivrot 1 : Bah, qu’est ce qui se passe ? C’est pour avoir grillé le feu rouge de la N47 ?


- Poivrot 2 : La vache, encore la police municipale qui se la pète !


- Barman : Bon, on sert quoi à ces messieurs de la gendarmerie ?


- NSC’S Agents : Where is The Covenant ?


- Poivrot 1 : Hé, je crois qu’on t’appelle.


- Jean Claude Convenant : Quoi, qu’est ce que j’ai fait encore ?


- NSC’s Agents : Shut Up Everybody !


- Poivrot 3 : Bordel, c’est des amerloques les condés là !


- Poivrot 4 : L’Irak leur suffit pas, ils veulent mettre la main sur nos champs de Colza !!


- Poivrot 2 : Plutôt mourir que de céder... Banzaïii !!


Mais, bon, cette scène n’aura pas été très retravaillée, alors, j’aurais suivi sur cette scène :


- Lorraine : Frappe moi !


- Sidney : Avec plaisir ! Ca c’est pour la prison...

PAF ! (Dans la tête.)


- Sidney : Ca c’est pour m’avoir piqué mon mec.

BAM ! (Dans le ventre.)


- Sidney : Ca c’est parce qu’à cause de tes conneries, Dixon est en prison.

VLAn ! (Dans les cotes !)


- Sidney : Et ça, c’est parce que ça peut pas te faire de mal !

PAF ! (Dans les dents !)


- Sidney : Ca suffira, tu peux te relever.


- Lorraine : Ho non ! Continue !!


- Sidney : Quoi ?


- Lorraine : Frappe-moi, j’ai été siii méchante ! Je le mérite ! Va z’y ! Pour nous deux !


- Sidney : Hein ?


- Lorraine : J’aime quand tu me domines. J’ai eu cette révélation il y a quelques mois, dans la voiture !! J’aime quand tu me donnes des ordres, Sidney !!

Mais, je le ferais pas, vu que je suis méga à la bourre. Cette review a été officiellement commencée le Mercredi 17 Novembre. On est le Dimanche 21 au matin (14:36) et elle n’est toujours pas terminée, j’ai la tête plombée et faim (aussi.)


Mise au point :

Ju m’a récemment parlé des fautes d’orthographes sur les personnages et les groupes, notamment : Laurène Reed qui se transforme en Lorraine Ride et Covenant qui se transforme en Convenant

Bon, pour Lorraine, c’est voulu. J’écris évidemment son prénom comme les "Quiches Lorraine." (Voir mes précédentes reviews.) Et j’ai longtemps pensé qu’elle s’appelait "Lorraine Vaughn" (normal elle est mariée à lui...) mais apparemment, on continue à l’appeler "Mlle Reed". Mais bon, pour la femme de "front plissé" avoir un nom dont la consonance est proche du mot "ride", j’allais quand même pas passer à côté.

Pour le Convenant, ça part d’une erreur. La première fois où le mot est prononcé, sa prononciation est floue, et le groupe fait ses premières armes en France. Or, j’ai cru que c’était un groupe français dont le nom était proche de "convenu." Covenant, en français ça veut rien dire et il m’a fallut 4 ou 5 reviews pour que je m’aperçoive du problème. Comme j’aime pas avouer mes fautes, j’ai continué à écrire ça avec un N, et je continuerais à l’écrire. Non pas parce qu’on accole le mot "CON" (bien français) au groupe terroriste, mais parce que ça rappelle le personnage de Jean Claude Convenant, (de Caméra Café, voir plus haut) qui comme le groupe à des filières (enfin des maîtresses et des coins à bourres) un peu partout dans le monde (Paris, Vierzon, Quimper, Surennes, Mouilleron-le-captif, Chigneule...) Sacré Jean-Claude.

A noter que le 01/12/2003 Ju disait : http://www.leflt.com/usa/article.php3?id_article=535


* En plus c’est même pas vrai...

* Les gens qui se sont fait la réflexion : "Bah, il a pas parlé de TF1 ??" sont priés de d’envoyer un mail à la direction pour se faire radier de la liste des membres du FLT !

** Evidemment, cette phrase sous-entend : "Whaa, je veux rencontrer une personne qui soit comme ça plus tard et (éventuellement, si elle est consentante et libre) sortir avec elle." Elle ne sous-entend pas : "Qu’est ce que j’aimerais acheter une personne comme celle là pour l’installer chez moi et faire des trucs de force avec elle."

*** Comme un glandu, j’aurais mieux fait de dire : Il a été président du festival de Cannes il y a quelques années.

**** Entre autre : Tueur d’une fanatique de la célébrité, ou seul personne consciencieuse avant la fin du monde.

***** J’allais pas manquer une occasion de caser cette référence non plus...





L’un des meilleurs épisode de la saison 3 et l’un de ceux que l’on prend le plus plaisir à re-regarder. En dehors d’un épisode à la stylistique assez particulière, il fait d’autant plus avancer l’intrigue qu’il donne quasiment les clés de l’amnésie de Sidney. De plus, la forme assez spéciale de l’intrigue ne laisse pas le temps (ou alors c’est comique) au shipperisme et à la bouletude en tout genre.