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Smallville

4.07 - Jinx

La review 2004 de Oz

dimanche 7 novembre 2004, par Oz

Bonjour, bonjour ! Et oui, c’est moi, Oz, en train de reviewer un épisode de Smallville. Je vous vois déjà en train de vous inquiéter : « Quoi, Oz aurait abandonné Gilmore Girls ? Il a décidé de faire son coming-out et d’avouer enfin que le retard qu’il prenait sur Gilmore Girls était en fait du à sa huitième intégrale de Smallville en mois de 3 mois ? Serons-nous obligés de lire uniquement les excellentes reviews de Lyssa à propos de Lorelai et Rory, sans notre dose d’interprétations foireuses en provenance directe du cerveau ramolli d’Oz ? ». Que nenni mes braves amis ! L’explication est bien plus simple :
1 - Si j’ai du retard dans mes reviews Gilmore Girls, c’est parce que je ne désire pas rompre la tradition : une bonne review est une review avec un retard d’au moins 7 mois ! Voilà la raison pour laquelle vous devez d’ores et déjà intégrer le fait que vous ne pourrez pas lire les reviews des épisodes pairs de cette cinquième saison avant juillet 2005.
2 - Si j’écris aujourd’hui une review de Smallville, c’est parce que j’ai vu de la lumière et que je suis rentré. Si, si, je vous jure. Allez, je vous raconte tout. En fait, une nuit courant août, je me balade devant le siège de la rédaction d’En Direct des USA, profitant de l’air rafraîchissant de la période, quand je m’aperçois qu’il y a une lumière allumée dans le bureau de notre rédac’chef, Ju. Ni une, ni deux, je me précipite pour l’éteindre (car je ne supporte pas les dépenses d’énergie inutiles, et Ju dépense sans compter !). Mais quand j’arrive dans le bureau, je me retrouve face à Ju, Drum, Tigrou (déguisé en Hobbes pour l’occasion), Tonio et Gib’s. Tous légèrement embarrassés, ils finissent par cracher le morceau : ils désirent faire une surprise aux lecteurs d’EDUSA en relançant les reviews Smallville pour cette nouvelle saison. Inutile de vous dire que je suis alors totalement atterré par cette révélation. Ils ont osé, Smallville va revenir sur EDUSA ! Je dois m’asseoir, il faut que je me remette les idées au clair, que j’intègre cette ignominie. Mais a priori, ce n’est pas assez pour eux. Voilà que Ju me fait une proposition qui me scie littéralement les jambes : « Tiens d’ailleurs, j’avais bien aimé la review de Smallville que tu avais écrite dans le cadre d’une semaine Out of Their Minds, ça t’intéresserait pas de nous rejoindre pour cette saison ? On cherche justement une sixième personne pour compléter l’équipe de reviewers ». A ce moment là, je vous avoue que j’ai vraiment cru qu’il se foutait de ma gueule. Après l’avoir longuement regardé, cherchant à découvrir si le petit sourire qu’il esquissait était narquois ou sincère, je décide de le prendre à contre-pied et j’accepte la proposition, à l’unique condition que je puisse évidemment raconter ce que je désire dans mes reviews. Un impératif tout de suite accordé, je me retrouve donc comploteur à mon tour…
Voilà donc l’histoire de ma transformation en reviewer de Smallville. Je sais, c’est pas glorieux. Mais j’ai au moins sauvé l’honneur, puisqu’on ne m’oblige pas à dire que Smallville c’est bien (et si Ju a tout fait pour faire revenir Smallville sur EDUSA cette saison, c’est bien parce qu’au fond de lui, il adooooooooooooooore la série. Ou alors il cherche à enrichir son CV pour postuler bientôt à J’Kif Tro Magazine, et dans ce cas c’est bien parti !).

Bref, j’ai le droit de raconter ce que je veux dans cette review. J’ai donc choisi de commencer par parler d’autre chose que Smallville. Pourquoi ? Mais parce qu’il y a des sujets bien plus importants que Smallville dans la vie, voilà pourquoi ! Ne vous inquiétez pas, pour les quelques rares lecteurs appréciant réellement cette série et qui ont réussi à lire les longues lignes qui précédent, j’ai décidé de sacrifier à la tradition : il y aura des images dans cette review ! Ca vous évitera de trop vous fatiguer comme ça (et moi aussi par la même occasion).

Tout d’abord, un hommage :


Christopher Reeve (1952 - 2004)

Oui, je considère qu’un petit "RIP Christopher Reeve" au bas d’une critique de Tonio n’est pas suffisant pour saluer la mémoire de celui qui prouva au monde entier que même Superman n’est pas aussi fort que Robert Redford pour murmurer à l’oreille des chevaux : Christopher Reeve ! Il fallait au moins une photo, voilà qui est fait.

Par ailleurs, je signale que le cynisme n’a aucune limite à Hollywood, puisque moins de 15 jours après le décès de Reeve, on apprenait que les producteurs avaient enfin trouvé son successeur pour la prochaine aventure de notre super-héros au cinéma en la personne de Brandon Routh. Au moins, on échappe au sourire de Tom Welling sur écran géant...


Le cheval n’a pas fait assez de mal à Christopher Reeve, voilà qu’on lui impose de prendre des photos avec des bourrins

Bien, maintenant que j’ai rendu hommage au disparu, je pense qu’il est temps que nous parlions de celui qui, dans le monde d’aujourd’hui, a plus de pouvoirs entre ses mains que Superman et qui est capable de les utiliser de manière bien plus dramatique que Lex Luthor, j’ai nommé :


George Walker Bush

Pardon ? Vous êtes quelques uns à me demander si je suis sur de moi ? Bougez pas, j’appelle Jean-Pierre...


C’est mon dernier mot Jean-Pierre !

Le 2 novembre 2004, George Bush Jr. a donc remporté un second mandat à la tête de la plus vieille démocratie du monde (tiens, au passage, je signale pour les nombreux journalistes ignorants qui me lisent que les Etats-Unis sont bien surnommés la "Plus Vieille Démocratie du Monde" et non pas la "Plus Grande Démocratie du Monde". La plus grande, c’est l’Inde pour laquelle on fait référence à son poids démographique... Je précise parce que j’ai souvent entendu au cours de la couverture de la campagne américaine que les Etats-Unis étaient devenus la plus grande démocratie du monde, et ça, franchement, ça reste à prouver dans tous les sens du terme !). Lorsque j’ai commencé à discuter avec quelques amis le lendemain de l’élection, je me suis aperçu qu’ils étaient quasiment tous abattus par cette nouvelle. Je me demande bien pourquoi franchement...


Quand on lit ce bouquin, ben on voit bien que Monsieur Bush, c’est pas un couillon !

En plus, il a arrété une personne très dangereuse ! La preuve :


Le Père Noel, vilain distributeur de rêves à tous les enfants du monde. Bouh ! Vilain pas beau !

Il faut savoir que George est quelqu’un de très culturé en plus. Tous les week-ends, il lit des livres pour se renseigner sur le monde


Là, il révisait pour les partiels de novembre. Ca s’est bien passé a priori...

Bon, c’est vrai, à force de réfléchir, quelques fois, ça donne mal à la tête...


Ouille !!!

Mais bon, il n’est pas le seul à subir une telle pression !


Ouch !

Perso, j’aimerais bien avoir le même métier que monsieur George, il rencontre plein de gens importants...


En plus, les sièges ont l’air confortable

Même que, des fois, il se fait de supers copains !


Ensemble, ils jouent à GI Joe !

A défaut d’avoir Superman pour nous guider, au moins, on est reparti pour 4 ans où on va bien se fendre la gueule. Franchement, je vois pas pourquoi tout le monde tire la tête !

Trève de plaisanterie, revenons à Smallville !

...

Euh...

...

Bon, ok, j’ai pas regardé l’épisode !

Oui, j’avoue, j’ai pas eu le courage, en plus, Ju me mettait la pression pour que je rende la review à temps... J’ai décidé de l’écrire sans regarder l’épisode.

Allez, pour me faire pardonner :


Le héros de Ju

Voili voilo... Promis, la prochaine fois, je regarde l’épisode et je le commente avec une guest-star de premier choix (qui ne sera pas le héros de Kung-Fu) !

Selon des échos contradictoires en provenance de plusieurs sources, je vous signale tout de même que l’épisode a été jugé excellent ou très mauvais, c’est selon. Donc je vous invite à établir votre propre avis, ça ira plus vite !