Accueil > Reviews > Saison 2004/2005 > Smallville - Saison 4 > 4.10 - Scare
Smallville
4.10 - Scare
Alerte à Smallville
lundi 6 décembre 2004, par
Cette fois c’est la bonne. Comme promis, j’ai regardé l’épisode et j’ai bien vérifié qu’il s’agissait de Smallville avant de me caler dans le canapé. Comme promis également, le Lieutenant Mitch Buchannon passera tout à l’heure pour commenter les moments forts de l’épisode en notre compagnie. Mais tout d’abord, je tiens à m’excuser auprès des fidèles lecteurs des reviews de Smallville pour avoir baclé mon boulot lors de mes deux précédents passages. C’était totalement indigne de cette excellente série, je m’en rends mieux compte aujourd’hui après avoir regardé cet épisode exceptionnel. Ou peut-être pas. Il me reste deux reviews de Smallville pour me faire pardonner et ensuite vous n’entendrez plus parler de moi !
Bien, commençons sans plus tarder à parler de l’épisode… J’accueille donc Mitch Buchannon, le sauveteur le plus connu de l’univers pour officier, toujours entouré de magnifiques donzelles siliconées. Mitch, bonjour !
Mitch : Bonjour Oz. Bonjour tout le monde.
Moi : Tout va comme vous voulez ?
Mitch : Tout va parfaitement bien.
Moi : Sûr ?
Mitch : Oui, oui.
Moi : Sûr sûr ?
Mitch : Oui, oui, oui.
Moi : Sûr sûr sûr ?
Mitch : Mais enfin, je vous ai déjà répondu ! Arrêtez de me poser la même question bon sang, sinon on va jamais la terminer cette review !!!
Moi : D’accord, d’accord, mais vous êtes sûr ?
Mitch : Mais qu’est-ce que vous voulez que je vous dise, bon sang de bois ?!
Moi : Ben, je sens que vous avez un poids sur le cœur et je pense que vous devez l’exprimer…
Mitch : Ah…
Moi : Oui.
Mitch : Vous avez raison.
Moi : Je sais, j’ai toujours raison.
Mitch : Mais devant tout le monde là, comme ça ?
Moi : On est entre nous Mitch voyons, nous formons une grande famille. Regardez, Phil, c’est un peu la grande tante que tout le monde voudrait ignorer mais dont on ne peut pas se passer pour ses boites de bonbons Quality Street.
Encore mieux, quand je vous dis qu’on est une grande famille, vous saviez qu’on avait accueilli votre fils ?
Mitch : Ah ? C’est vrai ? Je croyais pourtant que personne ne voudrait d’Hobie…
Moi : Nous, on en a bien voulu. Bon, on l’a tout de même obligé à effacer quelques traces concernant votre lien de famille, mais on en prend soin.
Mitch : C’est très sympathique. Et si je veux le contacter, je fais comment ?
Moi : Demandez Hobbes !
Mitch : D’accord, c’est noté. Bon, on s’y met ?
Moi : Avec plaisir Mitch, mais vous avez détourné la conversation et vous ne vous êtes toujours pas soulagé de votre poids sur le cœur…
Mitch : Oh…
Moi : Oui.
Mitch : Vous voulez dire, en dehors de ma monumentale toison pectorale, ayant pour but de cacher les bourrelets de graisse sans vraiment y arriver ?
Moi : Tout à fait. Le vrai poids…
Mitch : Stephanie donc.
Moi : Oui, Stephanie Holden, l’amour de votre vie !
Mitch : C’est vrai que depuis sa mort et son enterrement sur la plage en tong et en short, la vie est plus dure.
Moi : Nous sommes solidaires Mitch. Vous êtes le dernier des mohicans, nous ne tenons pas à vous voir disparaître.
Mitch : C’est très aimable. En plus, je suis alcoolique. Je bois souvent avec Dorothée, ma super copine avec qui on faisait Des millions de copains.
Moi : J’adorais cette émission !!! Le générique était gigantesque… Des millions de copains…
Mitch : Te tendent la main…
Moi : Génial, vraiment génial ! Bon, vous voulez un verre avant qu’on commence ?
Mitch : Je suis alcoolique…
Moi : Allez Mitch, juste un… Pour se motiver avant d’affronter Smallville !
Mitch : Bon, c’est bien parce que c’est vous. Je prendrais bien un Malibu dans ce cas.
Moi : Tout de suite. Moi je prends un Martini Rouge. C’est le seul Martini que j’apprécie.
Mitch : Vous avez bon goût.
Moi : Je sais. Merci. Santé !
Mitch : Santé !
Moi : Alors Mitch, commençons à parler de Smallville car je sens d’ici le regard inquisiteur de Ju au-dessus de mon épaule.
Mitch : Quand vous voulez…
Moi : Vous appréciez Smallville ?
Mitch : Pour sûr. Mais il n’y a pas assez de maillots de bain rouge.
Moi : C’est une obsession chez vous ! Bon, vous connaissez, c’est parfait. Parce que moi, je vous avoue que ce n’est que le troisième épisode que je vois. J’avais déjà vu le pilote et un épisode de la deuxième saison… Vous me préciserez lorsque je raconterai n’importe quoi.
Mitch : C’est entendu.
Moi : Tout commence dans la chambre de Clark… Lana arrive et… Ouh la, elle a pris un sale coup de vieux Lana ! Faut qu’elle arrête de se maquiller à la truelle…
Mitch : … et de se faire vomir dans les chiottes ! C’est pas comme ça qu’elle va choper les seins à Pamela Anderson…
Moi : Oui, bien sûr. Merci Mitch pour cette délicate intervention. Donc, Lana saute sur Clark et apparemment ça y est, ils vont le faire ! Ca fait quatre saisons de Smallville déjà et ils ont toujours pas couché ensemble ?!
Mitch : Apparemment non…
Moi : Eh ben, j’ai rien raté finalement ! Donc Lana enfourche Clark et yeeepeeee !!!! Ah mais, voilà que quelqu’un débarque… Une partie à trois peut être ?
Mitch : Ca m’étonnerait.
Moi : Vous avez raison. Il semble que ce soit un individu répondant au prénom de Jason. Il semble que Lana le connaisse bien. Oh, un combat entre Clark et Jason… Ah Clark s’est fait rétamer la gueule. Ca vous arriverait sûrement pas ça Mitch !
Mitch : Pour sûr !
Moi : Mais Lana plante une paire de ciseaux dans le bide à Jason. Crève ordure ! Oh, ce n’était qu’un rêve. En fait, Jason s’écroule sur une table du Talon, il semble vachement malade… Générique.
Mitch : Somebody save me… Enfin !
Moi : Effectivement, enfin ! Ca fait combien de minutes écoulées ?
Mitch : 3 minutes.
Moi : Bon sang, on va se faire chier je sens…
Mitch : C’est Smallville faut dire, vous vous attendiez pas à ce que ce soit bien ?
Moi : Non, bien sûr. Mais au moins que ça soit rythmé. Lent ou rapide d’ailleurs, mais rythmé. Là, ça n’a pas de rythme du tout ! Ca enchaîne les scènes sans intérêt…
Mitch : Moi j’aime bien…
Moi : Forcément, vous produisiez Baywatch auparavant !
Mitch : Pas faux.
Moi : Bon, si on accélérait ? Ju a dit qu’il avait regardé l’épisode en 25 minutes, donc j’ai le droit de zapper moi aussi.
Mitch : Allons-y !
Moi : Je résume l’intrigue, ça ira plus vite : donc l’entreprise de Lex a provoqué un accident industriel. Un virus s’est propagé dans l’atmosphère. Tout le monde va crever.
Mitch : C’est ça. Et y’a plus que moi… euh… Clark, pour sauver tout le monde.
Moi : Tout à fait. Donc Clark enfile son plus beau maillot de bain rouge et part enquêter façon Baywatch Nights.
Mitch : Vous connaissez cette série ? Je croyais que tout le monde avait oublié !
Moi : Vous rigolez, j’ai l’intégrale en VHS, c’est excellent… pour les drinking games !
Mitch : Ah cool !
Moi : Oui, bon reprenons. Donc Clark enquête, blablabla… Ne vous inquiétez pas, personne ne meurt à la fin. Clark sauve tout le monde grâce au vaccin mis au point par Lex et ses copains (voilà ce que c’est que de jouer à l’apprenti chimiste !). Bon, attardons nous sur le point clef de l’épisode…
Mitch : Oui, il est temps. Mais euh… c’est quoi, le point clef ?
Moi : Chloé !!!
Mitch : Ah, ok. Pourquoi ?
Moi : Elle était pas morte ?
Mitch : Ben… non ?!
Moi : Donc durant cet épisode, ce n’était pas sa jumelle maléfique qui enquêtait aux côtés de Clark ?
Mitch : Ben… non ?!
Moi : Ok, ben j’étais pourtant persuadé qu’on l’avait tué ! Ca n’aurait pas été une perte d’ailleurs… Mais quand elle découvre le cadavre lui ressemblant étrangement c’est qu’une hallucination ?
Mitch : Ben… oui ?!
Moi : Ca aurait été plus cool qu’elle découvre qu’elle était la jumelle maléfique et que Luthor avait tué la vraie Chloé il y a une saison déjà et qu’il l’a laissé se décomposer tranquillement.
Mitch : Dans Smallville, vous êtes sûrs ?
Moi : Ben, ça boit pas, ça baise pas, ça se décompose pas… Qu’est-ce qu’il se passe dans Smallville alors ?
Mitch : Hum… Rien ?
Moi : Ah, ok. Et on fait une série là-dessus ?
Mitch : Baywatch a tenu de 1989 à 2001 !
Moi : Ben on est pas rendu alors… Bon, dans ce cas, je vous signale que Jason (toujours pas compris d’où il arrivait celui-là) décide de quitter Lana à la fin de l’épisode pour une raison assez obscure. Et que le père Luthor est libéré de prison par quelqu’un dont on ne verra pas le visage mais dont Luthor ne semble pas surpris de découvrir l’identité… Ca promet, peut être, pour la suite.
Mitch : On a terminé ?
Moi : Bourré comme vous semblez l’être, je pense effectivement qu’on va s’arrêter là !
Mitch : Ok, dans ce cas, je vais aux WC, excusez moi…
Moi : Faites, cher ami et merci pour votre compagnie !
Quant à moi, chers amis, je vous laisse ici et vous donne rendez-vous très prochainement pour ma dernière review de Smallville !