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The O.C.
2.19 - The Rager
I have a bad feeling about this...
mardi 17 mai 2005, par
Ca faisait longtemps que je n’avais pas fait de minute culturelle. Ainsi donc, vous vous demandez peut-être à quoi le titre de l’épisode fait référence ? Une petite visite sur l’Urban Dictionary vous apprendra qu’un "rager" est « une fête o๠tout le monde appelle ses copains et les copains de ses copains, o๠l’on finit à 500, o๠l’on boit sans compter, o๠la maison est mise à sac et o๠les flics finissent par débarquer ». Cela donne donc le ton de l’épisode…
Plusieurs histoires cette semaine : Trey déménage, Julie revient d’Europe, Seth et Zack travaillent sur leur comics et Marissa veut célébrer le 21ème anniversaire de Trey ! Et pendant ce temps, Ryan continue à développer sa paranoïa.
En ce qui me concerne, je ne sais pas trop où la fin de saison nous emmène, mais j’avoue être un peu inquiet…
20 Going On 28
Comprenant que sa presence est loin de faire plaisir à son frère, Trey débarrasse enfin le plancher et va emménager (merci Marissa !) dans l’ancien appartement d’Alex. Jusque là rien de bien spécial. Et voilà que Marissa va jouer les mères Theresa…Voyant Trey faire des yeux de Droopy, elle décide qu’il est de son devoir de l’aider à se réinsérer.
Elle lui rend donc une visite surprise et découvre avec étonnement sa décoration « sommaire » (qui consiste en un pouf…). Après le passage de Marissa, Trey est le fier propriétaire de deux « meubles » : son pouf et sa lava lamp ! Way to go, Trey ! Voyant que Skeletorette lui offre des cadeaux sans raison, il décide de lui en donner une et annonce nonchalamment que son anniversaire est dans deux jours. Oui, Trey va fêter ses 21 ans (l’acteur qui l’interprète et son nom à rallonge est en réalité arrive au cap des 28…). Mais comme il n’est pas fréquentable, personne ne va le lui souhaiter, snif…Ni une ni deux, Marissa redevenue un instant Newport Bitch s’empresse d’organiser une soirée chez elle.
Oh et puis au passage, elle décide d’en parler à Ryan. Mais Ryan n’a pas confiance en Trey. Cela dit, il passe quand même chez lui (avec Seth aux basques, allez comprendre) pour lui demander s’il a du sel…mais lorsqu’il voit son frère monter dans une autre voiture, son sang ne fait qu’un tour. Il prépare forcément un sale coup !! Il n’hésite pas une seconde, et prend son frangin en filature.
Evidemment, les soupçons de Ryan semblent se confirmer lorsqu’il voit Trey tendre à un type un peu louche une liasse de billets verts…et il s’empresse de confronter cet odieux personnage ! Mais voilà, une fois de plus, Ryan s’est fait des idées, et Trey rendait visite à un ancien co-détenu en compagnie de son officier de probation…La situation entre les deux Atwood est donc une nouvelle fois très tendue, et Ryan commence à regretter son obstination.
Personnellement, même si je commence à trouver de l’intérêt au personnage de Trey, j’ai un peu l’impression d’avoir droit à une redite de la storyline Oliver-Marissa…
Au final, donc, Marissa invite « quelques » amis chez elle, et la petite fête d’anniversaire se transforme en « rager » (voir l’intro). Trey y fait notamment la rencontre d’une belle blonde un peu portée sur la chose, avec qui il fête bien son anniversaire…mais que l’on découvre un peu plus tard inconsciente dans la piscine. Les autorités arrivent, la fille est emmenée à l’hopital et lorsque Sandy, avocat des causes desesperées débarque, la police lui annonce que de l’ecstasy a été trouvé sur place…Marissa, « propriétaire » des lieux, risque de finir la nuit au poste (bien fait pour elle !) mais Trey la couvre en déclarant que c’est lui qui a amené la drogue.
D’un autre côté, la couvre-t-il vraiment ? N’est-ce pas lui qui a bien amené la drogue ? Le mystère reste entier…
Double Date, again !
Chez les Cohen, on aime jouer les entremetteurs. Seth a récemment remis Ryan et Marissa dans les bras l’un de l’autre, et ses parents avaient fait de même déjà l’an passé avec Jimmy et Rachel…Sandy a bien l’intention de trouver une copine pour son nouvel ami, Carter.
Newport Living vient d’être lancé et Carter n’a apparemment pas épargné un des riches pourris de la ville, qui s’est empressé de le poursuivre. Il se trouve donc bien obligé de recourir aux services d’un avocat, et c’est donc tout naturellement à Sandy qu’il s’adresse. On découvre alors un peu plus le travail « Sandy style ».
En gros, c’est surf le matin, restau travail le midi et re-surf l’après midi ! L’occasion ou jamais de faire connaissance avec les belles plantes du coin, notamment Erin, charmante orthopédiste que Captain’ Eyebrows va essayer de caser avec Carter. Ce dernier est d’ailleurs plutôt partant, car il faut bien avouer que les femmes commencent à lui manquer.
Sandy, tout fier de lui, invite donc Carter et Erin à diner…au grand dam de Madame Cohen, qui, ne l’oublions pas, semble en pincer pour le beau Carter. La blonde Kirsten s’arrange donc pour glisser quelques mots sur l’ex-femme de Carter et le mal qu’il a pour se remettre de son divorce…
At Gunpoint
L’intrigue la plus intéressante pour moi cette semaine est celle de Julie. De retour d’Europe, où elle a laissé Caleb, la belle rousse semble métamorphosée. Carter et Kiki ne la reconnaissent pas. Elle ne pique même pas de crise lorsqu’on lui annonce qu’elle ne fera plus la couverture du magazine. Non, Julie a changé. Cette histoire l’a véritablement transformée. Du moins en apparence.
Car la Julie nouvelle a beau paraître plus douce qu’auparavant, elle n’est est pas moins anéantie. A peine rentrée à Newport, elle récupère une arme et rend une petite visite à Lance. Celui-ci s’étonne tout d’abord de la voir débarquer dans son taudis, puis commence à s’inquiéter lorsqu’elle pointe sur lui le canon de son revolver…Il la supplie de ne pas tirer, mais Julie ne veut rien entendre. Et dans un moment de rage, elle appuie sur la détente…
Aucune balle ne part, tout simplement parce que Julie n’avait pas l’intention de tuer Lance, mais bien de lui rendre la pareille. Lance explique qu’il ne voulait pas de mal à Julie, mais que la réaction de Caleb (qui l’a fait tabasser et ne lui a pas donné un dollar) l’a mis hors de lui. Julie est on ne peut plus surprise d’apprendre que Caleb lui a menti et n’a pas versé un sou pour lui éviter la honte de sa vie. Mais au final, ça n’est pas si étonnant…
Lance et Julie finissent donc par passer la soirée au bar, à repenser au « bon vieux temps », l’insouciance des années 80, leur folie…Julie aurait pu plonger en tuant Lance de rage, mais finalement, je préfère la tournure qu’on pris les événements. Elle voit enfin qui sont ses vrais amis, et apparemment, Caleb n’en fait pas vraiment partie…Lance rend à Julie toutes les copies de la vidéo, en signe de bonne volonté, mais lui fait également comprendre que si elle cherche à se débarrasser de Caleb, il est capable de l’y aider...
The Geek, the Brunette and the Water-polo Player
Pendant ce temps, notre trio de choc continue son aventure comics. Ou du moins "recommence". Zack et Seth vont donc rencontrer l’ancienne assistante de Carter. Sauf que langue anglaise oblige, ces messieurs ne se doutaient pas qu’il pouvait s’agir d’une femme. Et belle qui plus est. Lorsqu’ils font la connaissance de Reed (Marguerite Moreau), Seth refuse de parler à une femme qui n’y connait sans doute rien en comics.
Sauf que contrairement à certaines autres brunes de la série, lorsque Reed parle pour la première fois, Seth est bouche bée. Elle s’y connait vraiment !! Mais voilà, Summer n’acceptera jamais qu’il travaille avec une femme, belle qui plus est, donc le problème reste entier. A moins qu’elle ne soit pas au courant !
Là, tout le monde sait pertinemment que c’est une trèèèèèès mauvaise idée, et que tôt ou tard, Summer apprendra la vérité sur Reed.
D’ailleurs, Summer fait la connaissance de Reed par inadvertance lorsque Zack vient avec elle à l’anniversaire de Trey, et bien entendu, c’est le clash. Seth et Summer, une fois de plus, se font la gueule...
A dire vrai, je préfère quand ils se chamaillent plutôt que lorsqu’ils jouent à je t’aime, moi non plus. Mais bon...
Au final, un épisode avec de bonnes idées et d’autres pas si terribles que ça. Content de voir Marguerite Moreau cela dit. Au suivant...