4.07 - My Common Enemy

La bonnne nouvelle de la semaine, c’est que Dan est toujours là.

La mauvaise, c’est qu’il n’est pas encore intégré au générique.

Ben oui, encore une fois Dan-Ed est délicieux. (Oui je sais j’avais promis la fin des jeux de mots douteux. Mais c’est plus fort que moi. Allez hop, je me lève.)

Je disais donc, ça fait deux semaines que Dan reste chez son frangin, et la cohabitation se passe plutôt bien, Dan vient même lui rendre visite à l’hopital. Enfin, c’est ce que croyait JD. Parce que ça fait deux semaines qu’Elliot et Dan jouent au docteur.

Forcément ça fait un choc. Surtout de savoir ce qui s’est passé dans son propre appart’ ! Alors JD décide de se venger, et culpabilise Elliot en lui faisant croire que ça le rend malade. Regard triste, poing dans le mur, la panoplie complète...

Si bien que JD retrouve Dan dans la baignoire (désormais culte !), en pleine dépression parce qu’Elliot a rompu avec lui. Il avait pourtant tout prévu pour elle : champagne, bougies, un CD de Dido...

Lorsque JD passe chez Elliot pour s’excuser de son comportement, "Thank You" est en marche, Elliot porte une chemise de nuit des plus révélatrices, prétend fêter sa rupture avec une coupe de champagne à la main, le tout dans une ambiance "bougies" très intime. Pas de doute, Dan et Elliot ont voulu faire croire à JD qu’ils ne se voyaient plus. Cette théorie est d’autant plus vraie que Dan, dans le plus simple appareil, s’est planqué derrière un meuble.

C’est là qu’Elliot et JD finissent pas s’avouer l’un l’autre qu’ils n’ont plus aucun sentiment l’un pour l’autre. Bon j’ai pas tout compris, parce que d’une part le raisonnement ne tient pas debout et d’autre part Elliot et JD à poil se regardant sans avoir de pulsions, il m’était difficile de faire attention aux paroles. Foutu plateau tournant !
Enfin bon maintenant c’est sûr, je n’écouterai plus jamais Dido de la même manière !

Bref, je suis très content de l’arrivée de Dan, j’espère que ça va durer, et qu’on nous épargne enfin pendant quelques temps les attirances JD/Elliot. Bien que je me doute qu’elles reviendront...aux sweeps, tiens.

Carla/Turk

Je m’étais un peu plaint de l’éternelle sous-intrigue Carla/Turk. C’est largement mieux cette fois-ci, même si je préfère des histoires séparées pour ces deux protagonistes.

Ce coup-ci, c’est Turk qui profite de la gentillesse de Carla et de sa maladie (le diabète)pour se faire apporter des plats au quart de tour. Mais Turk abuse tellement de son excuse "diabète", qu’il finit par gaffer. Carla ayant eu une promotion (un job administratif rapportant beaucoup d’argent), elle veut célébrer cela en passant un après midi "shopping", ce qui dégoute Turk qui sort son joker "diabète". Dommage pour lui, car Carla lui annonce finalement qu’à cause de son diabète elle a renoncé au job, il faut qu’elle chouchoute son mari.

Turk vole vite auprès de Kelso pour lui demander de permettre à Carla de retenter sa chance. Kelso est d’accord pour reconsidérer la question si Turk se débarrasse de sa chauve-souris dans sa cave.

L’histoire aurait pu s’arrêter là, mais Carla enfonce le clou et décline purement et simplement l’offre, parce qu’elle veut rester auprès de patients (elle a elle aussi utilisé l’excuse "diabète"). Mais un marché est un marché, et Turk finira par combattre - pour rien - la monstrueuse chauve souris.

Kelso/Cox/Clock

Hum.Répétez le titre plusieurs fois de suite et très vite, pour voir...

Ah ouais, pas mal.

Clock a une théorie qui met en rage Keslo et Cox. Sous une carapace de méchant, il y a toujours un coeur de gentil.

Théorie imbuvable, et pour le coup Cox et Keslo s’associent pour causer le malheur à cette blondasse qui siffle et propage la bonne humeur autour d’elle. Séquence absolument génialissime, où tout le monde se met à siffloter...(y compris Ted)

Kelso empêche donc Molly d’aller à un mariage au Mexique, en prétextant le boulot à l’hopital. Au grand dam des praticiens chefs, Molly comprend, et se met à siffloter.

Mais ouf, Kelso et Cox pensent avoir gagné en voyant la psy faire mine de pleurer sur un banc. Ils finissent donc par lui dire que ce n’était que pour lui faire comprendre qu’il y a des gens purement méchants sur Terre. Mais leur raisonnement s’arrête net à leurs excuses, car Molly reprend le sourire. "vous voyez bien qu’au fond de vous, vous êtes gentils". Ay, Caramba, Molly part au Mexique sous le regard médusé des deux médecins.