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Scrubs
4.08 - My Last Chance
Now we’re even
dimanche 31 octobre 2004, par
Ouch ! Le meilleur épisode de cette saison. Ca va être dur de ne pas abuser de superlatifs pendant cette review, alors je commence dès à présent dans le teaser : génial, fantastique,supercalifragilistic-expiadolicious, jubilatoire, hilarant, astonishing, brillant, démentiel, parfait, formidable, drumesque...
Bon j’arrête là, parce que sinon je vais manquer de compliments pour les prochains épisodes.
Ca fait du bien de retrouver un épisode de Scrubs qui pète la forme, bourré de délires à la moindre nanoseconde, avec gags en arrière-plan, mais aussi une touche de drama.
Mais voilà, je me retrouve avec une montagne de scènes cultes à reviewer, alors ne m’en voulez pas si j’en sélectionne quelques uns au gré ma mémoire...
Gags en stocks
Quand les médecins ne sont pas là, c’est "Rock and Roll" chez les patients âgés. Le problème, c’est que comme le dit Elliot, on finit par ne plus les croire quand ils prétendent être morts, même quand les pompes funèbres passent prendre le corps.
Elliot est classée 12ème plus belle célibataire de l’hopital, contre 2è pour Molly. (Personellement vu la seconde, j’attend la première avec impatience !!!)
Ne jamais laisser Doug Murphy jouer avec le feu, sous peine de se retrouver brûlé au dernier degré quand on drague.
"People can die from beer". Si, si, par exemple quand on envoie une bière à quelqu’un perché sur un muret sur le toit de l’hopital. Bon en fait c’est plutôt l’amitié JD - Shrensky qui est morte ce jour là.
Depuis 4 ans maintenant, JD devrait savoir qu’il ne faut jamais compter sur le janitor. Surtout quand il fait nuit, qu’on lui demande de faire le taxi, et que les loups hurlent à la lune.
"i would kill to have sex with Molly". Ou la phrase type pour se retrouver à faire du footing en échangeant ses vêtements avec son partenaire...
"JD where are you ?". Phrase prononcée plusieurs fois de suite par une Molly en petite tenue sur le lit. Enfin je suppose qu’elle le dit plusieurs fois de suite, mon esprit s’est bloqué sur la première phrase. Non non je ne mettrais pas de photo de Molly !!
JD et Turk font un adorable couple gay interracial.
"Turkleton, if you comin’ you have to take your shoes off". Voilà maintenant vous imaginez cette phrase prononcée par Kelso en peignoir en très bonne compagnie (non pas celle de sa femme).
Ne jamais faire confiance à Elliot, toujours lire ce qu’elle écrit ! Par exemple, si elle écrit "you have rights to fornicate with anyone", en fait elle écrit "now we’re even !".
Bon maintenant on reconstitue le puzzle
Molly et JD s’embrassent devant un film romantique. JD finit par convaincre Molly qu’il n’est pas un type normal mais un type tourmenté (elle ne sort pas avec des types normaux), mais JD doit obtenir l’autorisation d’Elliot pour coucher avec elle. Ben oui, elles sont meilleures amies, et en plus de ça Molly va partir le lendemain.
Mais un différent subsiste entre JD et Elliot. Sont-ils quitte ? Elliot accepte à condition que JD reconnaisse qu’ils ne sont pas quitte. Bourré de principes, JD finira par accepter, le spectacle de Molly qui s’étire étant un véritable supplice visuel.
Elliot écrit donc son mot d’autorisation, que JD empoche sans regarder. Et JD fonce vers sa mob, percute le mur, tombe dans le coma, se fait réveiller par doc murphy, cours dehors où le Janitor lui propose de l’embarquer, se fait déposer en pleine campagne encore habillé en malade, demande de l’aide à Turk, qui se fait lui aussi larguer par Carla parce qu’il ose insinuer qu’il rêve lui aussi de coucher avec Molly. Les deux compères finissent par s’échanger les vêtements pour mieux courir, rejoignent l’immeuble de Molly, se trompent d’appart’ et rencontrent Kelso, doivent redescendre de toute urgence en s’accrochant au cable parce que Molly est en bas sur le point de prendre son taxi.
Et quand enfin JD tend son mot, Molly le lui rend en lui disant que ça le concerne, et prend son taxi.
JD, desespéré, lit alors ces mots : "maintenant nous sommes quitte !!!"
Enooooorme cri de frustration de la part de JD.
Oui, oui, c’est à ce moment là que j’ai pleuré de rire.
L’autre storyline du jour, c’est Cox qui se retrouve obligé de passer une journée en ambulance (stage obligatoire). Et évidemment il va se retrouver avec une femme horripilante, blagueuse, bavarde, qui n’en rate pas une pour lui donner des maux de tête épouvantable.
Elle ira même jusqu’à le rejoindre chez lui pour jouer avec son fils Jack.
Et lorsque finalement elle aura un accident, Cox finit par regretter de s’être enfin épanché sur elle. Car cette femme est comme ça depuis qu’elle a perdu son fils de 10 ans. Et Cox finira par rester auprès d’elle, en lui amenant son fils Jack tout en essayant de supporter ses phrases inutiles.
Histoire très comique à la base qui finit par devenir émouvante. Bref, que du bon !
Un épisode qui restera dans les annales, avec des scènes cultes qui s’enchainent, et même un moment émouvant. Le divertissement complet, tellement complet qu’Heather nous manquera la semaine prochaine !!!
Et en plus de ça je viens de voir que cette review est mon 60ème article pour EDUSA, belle façon de fêter ça !